La crise sanitaire a porté un coup dur au modèle de la coopération internationale au développement par projets, la modalité la plus répandue. Finies (ou presque, ou en tout cas mutées à des modalités de télétravail) les myriades de gestionnaires de projets et d’experts internationaux et nationaux pour des missions de formulation, d’assistance technique, d’évaluation. Plus possibles les formations, les séminaires, les consultations avec la société civile, les dialogues régionaux, les ...