Faut-il se réjouir et/ou se féliciter de l’émergence, enfin, d’un accord annoncé autour du conflit libyen, dans un monde dont on nous dit que tout y est volatile, incertain, complexe et ambigu ? Ou, faut-il raison garder et attendre pour juger de la résilience des institutions nées des accords et du vote de Genève, face aux assauts de la Volatilité, de l’Incertitude, de la Complexité et de l’Ambiguïté ? Si on adopte la dernière attitude, il serait plus réaliste de saluer l’effort de ...