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Opinion
Alors que le coronavirus se propage à travers le monde, la capacité d’atténuer son impact est liée aux ressources disponibles et à l’efficacité des autorités publiques. Voilà pourquoi il nous paraît primordial que les dirigeants internationaux se concentrent sur les conséquences de la pandémie sur les plus vulnérables, en particulier en Afrique.
Il y a trois mois, le 31 décembre, les autorités chinoises informaient le bureau de Pékin de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’un risque d’épidémie. Cent jours plus tard, trois milliards de personnes dans le monde sont confinées chez elles. C’est le résultat d’une approche radicale en réponse à une urgence de santé publique. Mais qu’est-ce que cela signifie pour les pays dont les infrastructures sanitaires sont inexistantes et qui ne disposent que de peu d’outils administratifs ?
L’intégralité du texte est disponible sur Libération: https://www.liberation.fr/debats/2020/04/08/ne-laissons-pas-l-afrique-seule-face-au-coronavirus_1784490?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1586351167